Coucou les p’tits loups ! J’ai décidée de rejoindre le rendez-vous de Saefiel du blog les petits mots de Saefiel, pour le récap c’est chez elle que ça se passe =) Une très belle semaine, mon anniversaire avec mon amoureux et ma famille, quoi de plus beau, une semaine qui m’a ressourcée avant d’attaquer les répétitions de théâtre.

Lecture de la semaine :

A toi pour l’éternité de Daniel Glattauer :
Ayant adorée Quand souffle le vent du nord et sa suite, j’avais peur de plonger dans ce nouveau roman de l’auteur, mais fort heureusement je n’ai absolument pas été déçu, au contraire. Un roman qui se lit d’une traite tellement les événements qu’on lis sont une surprise, sont bluffants et qu’on n’aurait pas doutée de cela dans les premières lignes. Un page-turner mené par une écriture détaillée, un roman psychologique d’une force surprenante.

Les films et séries de la semaine :

Gossip girl – saison 6 : La dernière saison de Gossip Girl s’achève avec un petit pincement au cœur. J’ai énormément appréciée suivre cette série, qui est plus développée et plus enrichie que les romans. Dans ce final, nous retrouvons les complots, les trahisons mais aussi l’amitié à toute épreuve, et l’amour qui est le plus grand de tous les bonheurs mais également le plus grand des maux. Les protagonistes ont grandis et mûris et entrent désormais véritablement dans l’âge adulte. J’ai particulièrement aimée le dernier épisode, qui annonce enfin l’identité de Gossip Girl, qui m’a pour ma part beaucoup surprise mais qui se tient parfaitement. Les dernières images laissent aux spectateurs une fin ouverte, Gossip Girl ne peut se taire à jamais, bisous bisous…

Once upon a time – saison 1 : Mon arrivée à Storybrooke c’est fait sans heurts et j’ai adorée ce que j’y ai découvert, un Prince Charmant qui à ses faiblesses, et la plus grande d’entre toutes, l’amour, une méchante sorcière que l’on comprend parfois un peu et qui est plus humaine qu’on ne pourrait le croire, et enfin un charmant petit garçon, Henry, qui est le porte parole des contes. Un univers riche et fourmillant de détails, de contes revisités mais gardant leurs spécificités et tous imbriqués les uns dans les autres pour notre plus grand bonheur ! Et Rumplestiltskin, mon dieu, quel personnage, quel force, quel humour, sans lui, la série ne serait pas la même…

Et dieu créa la femme de Roger Vadim (1956) : La libération de la femme est en marche ! Juliette, jeune orpheline, se voit, si elle ne veut pas retourner au pensionnat, obligée de se marier à un homme dont elle n’est pas amoureuse, lui préférant son frère. Les trois frères de la patrie dans laquelle entre Juliette, vont s’entre-tuer pour les beaux yeux de la belle insolente.
Brigitte Bardot incarne ici le vent de liberté qui va souffler sur les femmes dans quelques années. Le personnage de Juliette est une femme éprise de liberté, de naturelle et pour qui le plaisir féminin doit être aussi spontané que pour nos amis les hommes. Elle fait fît de toutes les contraintes sociales d’une femme de son époque, et devient bientôt la créature du mal, mais nous contemporaines de ce mouvement, ne pouvons que la comprendre…
Un film culte, mais n’espérez pas y trouver de l’action à chaque scène, c’est bien plus un film psychologique, qui se dévore des yeux, tout est dans le regard, les gestes et les déplacements des personnages. Un film de la Nouvelle Vague, traitant des relations hommes – femmes, montrant les corps et la chair, insérant une barrière entre le cinéma d’antan, qui ne montrait pas. Ici, le cinéma à l’image de la femme, se libère.

Sorties un livre, un film de la semaine :

Son carnet rouge de Tatiana de Rosnay (éditions Héloïse d’Ormesson) :
 » L’infidélité est-elle indissociable du couple ? Le conjoint trompé est-il toujours victime ? Le fruit est-il plus savoureux lorsqu’il est défendu ? Tels sont les thèmes que Tatiana de Rosnay décline au fil de ces nouvelles drôles et décapantes. Jeune fille au pair ou meilleure amie, les profils sont divers et les tentations multiples pour un homme. Pourtant les femmes, qu’elles soient bafouées ou volages, ne sont pas en reste. Elles se surpassent même : rendre leur bague sans un mot, tromper en retour, dévaster le domicile conjugal et déchirer les cœurs… ou simplement pardonner par amour ou par dépit. À travers ces histoires brûlantes d’amours interdites et de duperies démasquées, l’auteur revisite l’adultère dans tous ses états. Vengeances machiavéliques, situations tantôt tragiques, tantôt cocasses, les chutes inattendues de ces récits sont toujours croustillantes et parfois glaçantes. Sur un ton léger et souvent sarcastique, Tatiana de Rosnay nous offre un ouvrage jouissif, où le rire se mêle à la compassion et la transgression au désir.  »

Last days of Summer de Jason Reitman :
 » Lors du dernier week-end de l’été, Frank, un détenu évadé, condamné pour meurtre, oblige Adèle et son fils Henry à le cacher chez eux. Très vite, la relation entre le ravisseur et la jeune femme prend une tournure inattendue…  »